LES JUIFS DANS LA RESISTANCE
(région de Toulouse)


Les Juifs de France, français ou étrangers, n’ont pas attendu les premières mesures discriminatoires ni les persécutions pour s’engager dans la résistance. De façon diversifiée et très tôt ils se trouvent dans les premiers mouvements de résistance. Beaucoup rejoignent le Général de Gaulle à Londres ,dès l’appel du 18 juin 1940. Parmi eux, René Cassin, Raymond Aron, Jacques Bingen, Pierre Dac, le Général Boris, Maurice Schumann, Jean-Pierre Bloch, Pierre Mendès-France, Albert Cohen, etc. Les EI (Eclaireurs israélites) choisissent d’abord la résistance spirituelle et le sauvetage. Le Centre Amelot à Paris organise l’entraide. D’autres se lancent très vite dans la résistance armée : c’est le cas des Juifs communistes déjà habitués à la clandestinité au sein des groupes MOI (Main d’oeuvre immigrée) ou de l’ “Armée juive” (AJ) qui naît à Toulouse en octobre 1940. Des Juifs également se trouvent parmi les fondateurs du “Réseau du Musée de l’Homme” ou encore du Mouvement “Libération”.
Que savaient les Juifs du sort qui les attendaient ? Ils en savaient certainement assez pour que joue à plein l’instinct de survie et que leur engagement soit si rapide et si diversifié.
Ce sentiment impérieux de la survie explique l’importance des mouvements d’aide et de solidarité conjuguant des moyens légaux et illégaux afin de protéger toute une population civile.

LE SAUVETAGE


Les secours aux réfugiés et aux internés


La population des Juifs réfugiés dans le Midi est très importante. Ils sont démunis, exposés et souvent très pauvres. A Toulouse va se créer un premier centre d’assistance, le “Comité de bienfaisance israélite”, dans l’immeuble de la rue Cafarelli où sera installée plus tard l’UGIF.
Deux rabbins, René Samuel Kapel et Henri Schilli prennent l’initiative des premières activités de secours en faveur des internés des camps du Sud de la France. Cette action aboutira à la création du “Comité de Nîmes” et va permettre de maintenir en vie (jusqu’à l’été 1942) plusieurs milliers de personnes. L’UGIF devient dès sa création le siège de la commission des camps et des distributions de secours.
Les Juifs communistes créent un mouvement “Solidarité” pour secourir les internés des camps. Le Comité des femmes distribue ou envoie des colis aux internés du camp du Vernet, très souvent anciens des Brigades internationales. La MOI apporte également une aide aux prisonniers politiques.
L’OSE, “Oeuvre de Secours aux Enfants”, assure l’aide médico-sociale et le secours aux enfants. Elle est présente à Toulouse et dans les camps d’internement. Elle organise son aide dans plusieurs départements autour de Toulouse, et à partir de 1941, elle crée des centre annexes (Pau, Montauban). Les responsables de l’OSE, le Dr Hofstein et Eva Cohen, sont arrêtés en 1943 et 1944. Le secours, même s’il emprunte des voies légales, est une action subversive aux yeux de Vichy et de l’occupant. Ainsi dès le début de la guerre, le secours et le sauvetage font partie intégralement de la résistance des Juifs.
L’OSE ouvre également plusieurs maisons d'enfants et l’ORT gère une ferme école à Penne d’Agenais. Ces homes d’enfants sont une protection pour ceux qui ont été libérés des camps mais aussi la possibilité de revenir au judaïsme ou de le découvrir.

Le secours moral et spirituel

La synagogue de Toulouse, 2 rue Palaprat, va rester ouverte pendant presque tout le temps de la guerre, témoignant d’une véritable vocation de résistance spirituelle. Le rabbin Moïse Cassorla assisté de David Nahon, assure l’exercice du culte. Lorsqu’il doit se cacher en 1943, il est remplacé par Nathan Hosanski. Avec l’afflux des réfugiés dans le Midi, d’autres communautés se constituent. M. Kahlenberg est rabbin à Montauban, Dan Aron est aumônier à Salies-du-Salat. Diverses communautés juives en Haute-Garonne, Tarn-et-Garonne et Tarn vont ainsi être reliées au consistoire de Toulouse.
Le 25 août 1943 les miliciens investissent la synagogue et menacent les fidèles d’exécution. Le siège de la synagogue finira sur intervention du préfet régional et de l’intendant de police.
L’Aumônerie générale des camps dirigée par le grand rabbin Hirschler est établie, un temps, à Toulouse. Elle veille à la tenue des cérémonies religieuses, à la pratique (si difficile en ces temps) des lois alimentaires et à l’éducation religieuse des enfants.
Certains rabbins bénéficiant de leur immunité provisoire s’emploient à sauver des Juifs menacés de rafles et de déportations. Le rabbin Simon Fuks d’Agen obtient ces renseignements de la préfecture. Certains seront déportés comme le rabbin Hosanski arrêté par la milice en janvier 1944.
De nombreux cercles d’études et de réflexion voient le jour, où se ressource la résistance spirituelle.

LES MOUVEMENTS DE JEUNESSE

Parmi les mouvements de jeunesse juifs, à côté du” Yechouroun” (religieux orthodoxe) et du MJS (Mouvement de la jeunesse sioniste), ce sont les EI (Eclaireurs israélites) qui vont exercer la plus large influence. Depuis l’action légale jusqu’au combat dans les maquis, ils rayonnent à partir de ces deux centres proches de Toulouse, Moissac (Tarn-et-Garonne) et Lautrec (Tarn).

Les Eclaireurs israélites

Dès 1940, les EI dirigés par Castor (Robert Gamzon) accueillent dans des troupes de style classique des jeunes qui ont encore leur famille et d’autres jeunes sans parents, dans divers foyers : fermes-écoles, exploitations agricoles, etc. Le financement est assuré par le “Joint” américain et par les indemnités versées aux internés.
Ces jeunes sont bien accueillis par les populations rurales qui ne les dénoncent pas et qui en général ne manifestent pas d’antisémitisme à leur égard.
Lors de la création de l’UGIF en 1941, les EI se fondent dans la “Quatrième direction de l’UGIF” chargée de la jeunesse. Le siège officiel se trouve à Moissac.

Le Mouvement de la jeunesse sioniste (MJS)

Regroupant plusieurs mouvements qui voulaient préparer les jeunes à partir dans les kibboutzim de Palestine, le MJS est créé en mai 1942, au congrès de Montpellier, à l’initiative de Simon Lévitte des EI. Cette création advient au moment où commencent les déportations, le MJS entre alors tout de suite dans la clandestinité, et il va se consacrer au sauvetage.

L’ENTREE DANS LA CLANDESTINITE

L’information

La MOI (Main-d'oeuvre immigrée), organisation liée au PC s’efforce de faire connaître dès 1941, les massacres de Juifs à l’est de l’Europe. En 1942 ils sont déjà au courant de l’utilisation des gaz asphyxiants.
A Toulouse, le docteur Barsony, ancien des Brigades internationales, crée une section du MNCR (Mouvement national contre le racisme) où participent des intellectuels juifs et non-juifs.

Le sauvetage des enfants

Les responsables des organisations juives non communistes tentent d’abord d’empêcher les déportations par des voies légales. Puis une décision unanime s’impose, celle de sauver les enfants, quels que soient les moyens. L’action de sauvetage entre alors dans la clandestinité. Deux filières importantes sont à mentionner : le “Réseau Garel” de l’OSE et la “Sixième” (Sixième direction de l’UGIF) des EI.
Après leur dispersion, les EI de Moissac qui échappent tous à la rafle d’août 1942, se regroupent dans plusieurs endroits, à La Malquière dans le Sidobre, noyau du futur maquis des EI, à Castres avec Gilbert Bloch ou à Montauban avec Leo Cohn où ils forment des groupes d’étude.
La Sixième va se consacrer principalement à la fabrication de faux-papiers de très bonne qualité grâce à l’aide de la Mairie de Moissac. L’OSE et les mouvements sionistes travaillent avec la Sixième. Les EI gardent encore une vitrine légale dans l’UGIF jusqu’à l’arrestation de Marc Haguenau à Lyon en février 1944.
Beaucoup de sauveteurs du réseau Garel et de la Sixième seront déportés ou fusillés. Mais le sauvetage des enfants, objectif essentiel de la lutte, fut très important : environ 9000 enfants juifs sont sauvés en France.

L’évasion par l’Espagne

A partir de l’invasion de la zone Sud les frontières sont verrouillées, mais de bons passeurs (peu bénévoles et exigeant au minimum 5000 francs par fugitif) font passer beaucoup de Juifs par delà les Pyrénées. Certains rejoignent la Palestine et d’autres la France libre.
Les réseaux d’évasion les mieux structurés sont créés par les mouvements sionistes. Le SER (Service d’évasion et de regroupent) est créé par Jacques Roitman à Toulouse pour recruter des combattants pour la Palestine. Ils sont entraînés dans un camp du Tarn par Jacques Lazarus. Le SERE (Service d’évasion et de regroupement des enfants) et la Sixième organisent également ces évasions. Emilienne Eychenne estime que 500 personnes furent arrêtés et plus d’une trentaine refoulées d’Espagne sur environ 900 fugitifs juifs.

LA LUTTE ARMEE

L’Armée juive et les Eclaireurs israélites

En août 1940, David Knout, poète d’origine russe, crée une organisation appelée “Forteresse juive” puis “Main Forte”. Puis il dut se réfugier en Suisse. Il était alors l’époux d’Ariane Skriabine, la fille du grand compositeur Alexandre Skriabine, et qui venait de se convertir au judaïsme, disant “Je veux être du côté des victimes”. Issue de ces premiers regroupements l’AJ (Armée Juive) va naître à Toulouse, en octobre 1940, sous l’impulsion d’Abraham Polonski et de Aaron-Lucien Lublin. Ariane-Sarah Fixman-Knout, dite “Régine” en fut membre jusqu’à son assassinat, avec Thomas Bauer, par la milice de Vichy, le 22 juillet 1944.
L’AJ qui sera appelée OJC (Organisation Juive de Combat) au printemps 1944, se constitue dans un but de lutte armée, d’actions dans les villes et de sauvetage également. Elle va mettre en place un maquis et créer des corps francs dans les villes (Paris, Lyon, Grenoble, Marseille, Limoges, Chambon, Nice et Toulouse) pour démanteler les réseaux de dénonciateurs qui travaillaient pour la gestapo. Elle organise des passages vers l’Espagne pour permettre aux jeunes combattants de rejoindre les Forces alliées dans la Brigade juive de Palestine. L’AJ, force de résistance armée, a une vocation sioniste, et le maquis salue à la fois le drapeau français tricolore et le drapeau bleu-blanc du futur Etat d’Israël.
Le premier maquis de l’AJ est installé le 15 novembre 1943 à Biques dans la Montagne Noire (département du Tarn), puis il se déplace vers Lacaune, à La Jasse de Martinou en mars 1944, et enfin vers Lespinassière, le 25 avril 1944. Evoluant avec une certaine autonomie jusqu’au 6 juin 1944, il intègre le “Corps Franc de la Montagne Noire” (CFMN) dès l’annonce du débarquement. Le commandement du “Peloton israélite” du CFMN, fort de 800 maquisards, est confié au Lieutenant Leblond. Il prend le nom de “Maquis bleu-blanc” ou “Peloton Trumpeldor”.
Les EI (Eclaireurs israélites), sous couvert de légalité, intensifient leurs actions clandestines : faux papiers, filières de passage en zone Sud ou vers l’Espagne et la Suisse, planquage des juifs étrangers plus menacés, utilisation de fermes rurales (comme Lautrec) comme refuges. Puis ils choisissent aussi la route du maquis. Les chantiers ruraux établis jusqu’alors sont de véritables pépinières de résistance (Lautrec). Ils sont dissous le 22 février 1943, et les EI décident alors de créer un maquis dans le Tarn. Par leurs contacts avec les Monts de Lacaune, ils créent leur premier maquis à La Malquière en décembre 1943, et s’installent ensuite à La Roque (mars 1944) et à Lacado (avril 1944). Ce maquis devient la “Compagnie Marc Haguenau” intégrée dans les “Corps Francs de la Libération du Tarn” qui dès juin 1944, sont placés sous le commandement de Pierre Dunoyer de Segonzac.
Ces deux maquis EI et AJ vont participer courageusement aux combats de la libération nationale. Ils sont intégrés à la resistance générale et mettent en valeur leur appartenance juive : couleurs bleu-blanc pour le “maquis Trumpeldor”, chants yiddish pour le maquis Marc Haguenau.

La Brigade Marcel Langer (le courant communiste)


Les combattants FTP-MOI opèrent essentiellement dans les villes, à Lyon, Grenoble, Marseille et Toulouse. Ils sont très jeunes,viennent de couches sociales et de nations différentes, souvent d’Europe centrale et orientale. Parmi eux il y a des hommes et des femmes. Exclus de la communauté nationale française, leurs parents souvent déportés, ils mènent un ardent combat dans les rangs des FTP-MOI.
Les Juifs communistes de la MOI vont jouer un rôle très important à Toulouse malgré leur faible nombre : information sur la Shoah, “Travail Allemand” (TA) confié à des militants parlant couramment allemand pour des missions dangereuses de renseignement (Gerhard Leo) ou de propagande anti-nazie (Emeric Epstein) auprès de l’armée d’occupation. La MOI fournit également des combattants pour les FTP du Parti communiste. L’unité FTP-MOI, 35ème Brigade, se lance dans des actions spectaculaires de guérilla urbaine et d’attentats jusqu’à son démantèlement et à l’arrestation de ses militants en avril 1944.
Ces jeunes militants ne peuvent compter sur la population toulousaine ni sur les autres mouvements de résistance, et le Parti communiste qui les finance, se révélera défaillant à leur égard.
Le premier chef de la Brigade, Mendel Langer (Marcel en France), était un juif polonais fils de militants du Bund, le parti socialiste russe. Sa famille avait émigré en Palestine pour fuir l’antisémitisme. Militant communiste, il vient en France où il adhère à la MOI. Il s’engage dans les Brigades internationales et se marie en Espagne où il a un enfant. De retour en France, il est interné, s’évade et devient le chef des FTP-MOI de Toulouse. Ceux qui ont fondé la Brigade s’appellent Mendel Langer, Jacob Insel, Joseph Wachspress, Abraham Mittelman, Zeff Gottesman, José Linares-Diaz, Wladislaw Hamerlak, Stefan Barsony, Luis Fernandez, Schimmel Gold. Marcel Langer est arrêté en 1943, il est jugé par le tribunal de Vichy, condamné à mort et guillotiné.
Les dirigeants qui lui succèdent sont Jan Gerhard, Jacob Insel et Schimmel Gold.
Les militants de la MOI qui choisissent alors de s’appeler “35ème brigade Marcel Langer”, répliquent aussitôt en abattant un officier allemand puis l’avocat général, Lespinasse, qui avait requis la peine de mort contre Marcel Langer.
Toulouse étant au centre d’un réseau de communications et une ville où des industries importantes doivent travailler pour l’occupant, les militants se lancent dans une série impressionnante de sabotages et d’attentats : destructions de locomotives, exécutions de soldats allemands ou de dénonciateurs, etc. A la suite d’un attentat manqué contre le cinéma Les Variétés qui projetait le film de propagande Le Juif Süss, des militants, David Freiman, Enzo Godeas et Rosine Bet sont blessés. Les responsables de l’organisation de cette action, Jan Gerhard, Judith Heytin et Ladislas Mandel sont sommés de s’expliquer. D’après Claude Lévy, c’est à partir de ce moment que les membres de la 35ème Brigade sont abandonnés. Le groupe est démantelé et la plupart d’entre eux sont arrêtés le 4 avril 1944. Certains seront déportés en Allemagne.

DES JUIFS DANS LA RESISTANCE OU RESISTANCE JUIVE ?

Annie Kriegel évoque David Knout qui publia en 1947, le premier livre consacré à la Résistance juive où il établit une typologie des formes de résistance en distinguant la lutte armée, l’action sociale, le travail d’assistance, la propagande et la résistance morale. Les Alliés et les mouvements de résistance visaient à la victoire militaire contre l’Allemagne nazie, mais les juifs étaient confrontés à un autre problème. Dans la guerre générale contre les nations du monde, Hitler menait une guerre particulière contre les Juifs. Et cette guerre-là allait plus vite que l’autre. L’engagement des Alliés et des résistants visait à la victoire, l’engagement des Juifs visait nécessairement aussi à la survie. Ce n’était pas des résistants armés qui étaient menacés de mort, mais toute une population civile. Comment faire survivre et sauver 300 000 personnes ainsi menacées ? Cela nécessite une combinaison de recours légaux et illégaux, et c’est ce qui explique que la Résistance juive fut animée tout au long de la guerre, non pas essentiellement par des organisations crées pour le besoins du moment comme dans la résistance générale, mais par des organisations traditionnelles, consistoriales, scoutes, bundistes, communistes, philanthropiques existant de longue date.
Renée Poznanski nous invite à cette réflexion : “Entendue comme la résistance des Juifs de France, elle (la résistance juive) est inscrite dans le pluralisme qui caractérise l’identité juive à l’époque moderne et de ce fait, ne craint ni les contradictions internes, ni la confrontation avec la résistance générale, une confrontation qui peut nous en apprendre autant sur le judaïsme de France et sa condition à cette époque que sur la société française dans son ensemble.” Le processus d’unification qui aboutit en juin 1943 à la constitution du “Comité de Défense” puis au début de l’année 1944, à la fondation du CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France) ne s’oppose pas à l’expérience d’une diversité qui se constitue ou se renouvelle dans des situations inédites. L’expérience juive est ainsi marquée du sceau de l’unité et de la diversité à travers les siècles. L’existence juive s’est poursuivie dans le monde malgré les tentatives d'anéantissement moral ou physique, malgré les exils. Particularisme qui ne se réduit pas à l’opacité d’une identité fermée sur elle-même puisque les Juifs viennent d’horizons du monde différents, expériences multiples venues des échanges et confrontations avec les peuples du monde mais qui ne se laissent pas absorber dans le brassage des civilisations. La multiplicité de l’engagement des Juifs dans la Résistance n’est-elle pas révélatrice de la diversité et de l’unité du peuple juif à travers l’histoire ?


Monique Lise Cohen


Bibliographie :


Georges Bensoussan, dir.
France 1940-1944 : Des Juifs en résistance
Revue Le Monde Juif : Revue d’histoire de la Shoah, n° 152
Paris, Centre de Documentation juive contemporaine, 1994

Jean Brauman, Georges Loinger, Frida Wattenberg
Organisation juive de combat. Résistance / sauvetage : 1940-1945
Paris, Autrement, 2002 (collection Mémoires)

Monique Lise Cohen, Jean-Louis Dufour, dir.
Les Juifs dans la Résistance
Paris, Tirésias, 2001

Valérie Ermosilla, Monique Lise Cohen
Les Juifs dans la Résistance
Toulouse, Bibliothèque municipale, 1997

Jean Estèbe
Les Juifs à Toulouse et en Midi toulousain au temps de Vichy
Toulouse, Presses universitaires du Mirail, 1996

André Kaspi, Annie Kriegel, Anne Wievorka
Les Juifs de France dans la Seconde Guerre mondiale
Revue Pardès, n°16
Paris, Cerf, 1992

Annie Kriegel
De la Résistance juive
Revue Pardès, n°2
Paris, Cerf, 1985

Lucien Lazare
La Résistance juive en France
Paris, Stock, 1987

Claude Lévy
Les parias de la Résistance
Paris, Calmann-Lévy, 1970

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Mise à jour : 28 janvier 2007

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